LA RECHERCHE LE CONFIRME : LA MUSIQUE STIMULE LES AFFAIRES - SOCAN

LA RECHERCHE LE CONFIRME : LA MUSIQUE STIMULE LES AFFAIRES

mardi, mai 6, 2014

Toronto – Pouvez-vous imaginer un bistro sans musique? Ou une boutique de vêtements silencieuse? Un restaurant sans ambiance musicale? Les entreprises canadiennes non plus, selon une nouvelle recherche de Léger1 commandée par la SOCAN – la Société canadienne des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique – et qui confirme que la musique est de plus en plus importante pour le succès des entreprises. Parmi ses constatations, la recherche démontre que la musique améliore l’expérience de leurs clients et que beaucoup n’arrêteraient jamais de jouer de la musique.

Les résultats de la recherche La musique et les affaires confirment que l’importance de la musique s’est accrue au cours des deux dernières années selon les propriétaires d’entreprises, et que la plupart de ceux-ci estiment que la musique qu’ils diffusent leur donne un avantage par rapport à leur compétition. En fait, le tiers des propriétaires d’entreprises considère la musique comme l’aspect le plus important de leur ambiance, devançant le décor et l’odeur.

« La musique est essentielle à beaucoup de propriétaires d’entreprises, et son utilisation dans le milieu de travail peut créer une atmosphère unique et invitante, influencer le comportement des consommateurs, améliorer le moral des employés et, somme toute, faire faire plus d’argent aux entreprises, » a déclaré Jennifer Brown, vice-présidente du service des Licences à la SOCAN. « Faire affaires avec la SOCAN autorise les entreprises à faire jouer pratiquement toute la musique qu’elles veulent – la SOCAN est un partenaire important de leur équipe. »

Cliquez sur l’infographique pour l’agrandir.

Parmi les faits saillants de la recherche La musique et les affaires, on apprend que :

  • Près de la moitié des entreprises ayant répondu au sondage – et 52% des répondants québécois – estiment que l’importance de la musique s’est accrue au cours des deux dernières années.
  • Près des trois quart pensent que de faire jouer de la musique dans leur entreprise est très important ou important.
  • Près de la moitié disent qu’ils n’arrêteraient jamais de jouer de la musique, et croient que leurs clients se plaindraient s’Ils le faisaient.
  • Soixante-neuf pour cent sont d’avis que les créateurs de musique ont le droit d’être rémunérés adéquatement pour leur travail.

La recherche La musique et les affaires nous apprend aussi que plus du tiers des entreprises utilisent des musiciens en spectacle pour divertir leur clientèle et obtenir des résultats encore meilleurs.

Cette recherche fait partie du travail de la SOCAN visant à mettre en lumière la véritable valeur de la musique pour les entreprises et auprès du public en général. L’organisation a récemment lancé son programme à long terme AUTORISÉ À VOUS DIVERTIR auprès des plus de 125 000 entreprises titulaires de licences de la SOCAN et de leurs clients.

« La musique ici, ce n’est pas un bruit de fond, ça fait partie intégrante de l’expérience globale de l’Assommoir. Elle joue peut-être un peu plus fort que dans d’autres restos, mais pour nous c’est un élément aussi important que la nourriture, les cocktails et le personnel. Notre leitmotiv est “Un univers à boire, à manger et à voir”, et on devrait peut-être rajouter “Et à entendre”!, » a déclaré Jean-François Paquin, copropriétaire de L’Assommoir, le premier établissement licencié par la SOCAN à Montréal à apposer le nouvel autocollant Autorisé à DIVERTIR.

Quant à la célèbre France D’Amour, lauréate de plusieurs prix de la SOCAN, d’un disque d’or pour Animal et d’un autre pour D’Amour déchaînée, nommée à de multiples reprises au Gala de l’ADISQ et lauréate d’un Félix, elle estime que : « Les redevances versées par la SOCAN sont directement proportionnelles à la survie des auteurs. Quand on est bien rémunéré, que les clients versent nos droits, ça nous encourage à continuer. Et puis, il faut dire que la musique, dans un bar par exemple, c’est vital. Même dans les salles d’attente, on met de la musique pour créer une ambiance. Si la musique faisait la grève, qu’on n’en entendait plus, on verrait combien elle est importante. »

« Notre recherche démontre que la musique a beaucoup de valeur pour les entreprises de chez nous et que leurs propriétaires croient qu’elle améliore l’expérience de leurs clients, a conclu Dave Scholz, chef du marketing chez Léger Recherche Stratégie Conseil. Ils utilisent fréquemment des oeuvres de nos créateurs de musique et croient que ceux-ci devraient être rémunérés pour le rôle qu’ils jouent dans leur réussite. »

Ian MacKay, président de Ré:Sonne, qui représente des interprètes et compagnies de disques pour leurs droits d’exécution, croit pour sa part que « Cette recherche confirme les résultats d’études similaires faites à l’international et renforce le message que la SOCAN et Ré:Sonne véhiculent depuis dix ans et plus – que la musique ajoute une valeur quantifiable et aide à obtenir des résultats en affaires. »

Pour un sommaire complet de la recherche La musique et les affaires, veuillez cliquerici.

1 Ce sondage auprès de 1 079 propriétaires d’entreprises canadiennes a été réalisé en ligne. Un échantillon probabiliste de la même taille donnerait une marge d’erreur de +/- 2,9 %, 19 fois sur 20.
Au sujet de la SOCAN
La SOCAN est une organisation qui représente les droits d’exécution musicale canadiens de plus de trois millions de créateurs et d’éditeurs de musique au pays et à travers le monde. La SOCAN est fière de jouer un rôle d’avant-garde pour assurer le bien-être à long terme de ses plus de 120 000 membres canadiens et de l’industrie musicale canadienne dans son ensemble. La SOCAN perçoit des droits de licences de plus de 125 000 entreprises au pays et distribue ces redevances à ses membres et affiliées internationales. La SOCAN distribue également à ses membres les redevances qu’elle reçoit des organisations affiliées internationales pour l’utilisation de leur musique à travers le monde.

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Pour plus d’information
SOCAN: Anne Richard, richarda@socan.ca, (514)844-8377, poste 4943
Capital-Image (pour la SOCAN): Yannick Gayama, ygayama@capital-image.com, (514) 739-1188